Le sens du trajet...

J'aimerais rajouter un sens à mon blog naissant!

Voilà que la nouvelle que je donnais le trente-et-un n'est plus valable. J'y pensais déjà en croissant du regard "Sabine" (pourquoi cacher ou modifier son nom?) lors que je m'étais assis fatigué à la première place du marché de nuit de Ning Xia Lu et que ma petite copine me racontait pourquoi cela pouvait être une place dangereuse... Non, moi je ne pensais pas à ce danger là, mais à ses exercices somme toute rare de répépétition (disons-le franchement) en cas d'invasion de la Chine. La prochaine aura lieu mardi prochain. C'est la deuxième que je remarque en plus de cinq ans... Le fait exceptionnel s'il on puit dire est qu'elle devait avoir lieu la nuit, le soir, en plein cœur du traffic important pour la vie taïwanaise, non pas le service routier, mais celui des marchés de nuit, donc on t revient, les Ye Shi. Une protestation des marchands d'étalage et en quelques jours l'horaire est varié, adapté... Une congrégation, un clan, s'est à enquêter, en tous cas, imaginez cela un instant en Chine. La vox populi a tranché. Mon info est obsolète, cela commencera par là. Cette fois-ci on y est. 4h20, le gardien du parking centrale sous quatre très grands gratte-ciel du canton entonne sa mélodie du matin. Je rentre de m'acheter pour  97+107 nt de Shengyupian, du poisson cru, tout cru, auquel mon estomac résiste de moins en moins bien ces derniers temps. J'ai craqué, c'est l'anniversaire des 4 mois de mes 42 ans, celui aussi de ma petite copine. Qui d'autre
? Ah, il y a ce festival des feux(d'artifices seulement...) qui débute en ce mois des fantômes, exactement ce soir à 20h30 (j'ai encore le temps, elle pas; elle aura eu ses v...-... ans, aucune idée si elle m'accompagnera!) dans un lieu non dénué d'intérêt. Da dao cheng, nous y reviendrons. 4, 5,6.. quatre heures cinquante-six